Cette Neriene se reconnaît à sa toile en nappe sous laquelle elle se tient, la couleur générale chocolat et ses pattes annelées - c'est la seule de son genre avec cette caractéristique - et la large frange blanche de son abdomen. La large bande centrale de l'abdomen montre des échancrures irrégulières sur ses bords. |
Le mâle est assez similaire à la femelle. |
La Toile
Une Neriene montana avait tissé cette grande toile sur le rebord d'une fenêtre.
Elle est composée d'une nappe à peu près plane et garnie de points de tension dirigés vers le bas,
mais le volume situé au dessus est également copieusement garni de fils désordonnés.
L'araignée est réfugiée dans le coin complètement à droite. |
Cette autre toile vue en pleine forêt était tendue dentre deux grosses branches verticales. Elle révèle tout à fait le même type de construction avec sa série de tendeurs vers le bas et un haubanage touffu vers le haut.
L'animal est complètement à gauche. |
|
|
.
La Femelle
|
|
|
|
|
C'est l'araignée ci-dessus qui avait élu domicile
sur le rebord d'une fenêtre de pavillon.
Elle se tient sous sa toile conformément
aux habitudes des Linyphiidés.
On peut constater les pattes annelées,
le céphalothorax foncé,
la robe particulière de l'abdomen
faite d'un ruban mauve avec des échancrures,
et la hauteur des chélicères.
|
Deux animaux de la forêt: à gauche, une femelle tardive dans la saison dérangée sur une souche à gauche et à droite une femelle de printemps et sa proie nocturne. Cette dernière est la propriétaire de la toile de Chisseaux montrée en haut de page. |
Le Mâle
|
|
|
|
Très bel animal rencontré en pleine forêt, en errance à la recherche d'une belle... |
Il reste proche de la femelle mais possède de longues pattes aux annelures nettes. Les plages blanches de son abdomen sont réduites.
|
|
|
|
Voici un mâle est encore immature surpris sur un tronc d'arbre. Il serait déjà parti en croisade pour des femelles? |
Une peau protège encore les mécanismes délicats en formation de ses pédipalpes.
|
|
|
